L’histoire du street art, de ses débuts à aujourd’hui

Il serait exact de dire que le street art existe depuis l’émergence de l’Homo sapiens. Au début, la créativité s’est manifestée sous la forme de peintures rupestres. Plus tard, déjà dans une société civilisée.

Les gens ont commencé à exprimer leurs pensées en écrivant sur les murs. Il s’agissait de messages publicitaires, de déclarations d’amour, d’expressions de pensées politiques et autres.

Le street art tel que nous le connaissons aujourd’hui serait apparu pendant la Seconde Gue rre mo ndiale. Pour la première fois, il est considéré comme une inscription virale « Kilroy was here ».

Il a é té appliqué par un Kilroy, qui travaillait dans une usine de bombes à Detroit. Au début, l’inscription figurait sur toutes les caisses de bombes fabriquées dans cette usine. La phrase a ensuite é té complétée par un dessin et diffusée par les soldats américains.

L’apogée de l’art de rue dans les années 1960 a eu lieu à Philadelphie. Elle est toujours considérée comme un centre historique de la culture du graffiti. Dans les années 1970, la localisation s’est déplacée à New York.

Tout a commencé dans un quartier de Manhattan appelé Washington Heights. C’est à ce moment-là que le « marquage » a é té inventé. C’est alors qu’est née la tradition de mettre le numéro de la rue à côté du surnom.

Le premier à le faire fut Julio 204. Parmi les graffeurs de l’époque, une rivalité est née pour être reconnu comme le meilleur. Cela a motivé les auteurs à développer une nouvelle façon de faire. C’est ainsi que sont apparus les codes et les styles du graffiti.

Il est également remarquable que, jusqu’en 2012, aucun musée d’art de rue n’ait été créé dans le mo nde. Il n’existait aucun service capable de présenter ce style au public. Le premier musée des arts de la rue a été ouvert à Saint-Pétersbourg.

L’objectif principal de ce musée est de fournir des informations sur le street art et les graffitis. Le musée contribue également à l’organisation de projets contemporains et au soutien de jeunes artistes.

Les représentants du musée tentent d’introduire une nouvelle approche du développement de la créativité, en utilisant à cette fin des sites industriels éloignés du centre ville.

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